La vie d'une Quiche

Des fois les rêves peuvent être...perturbants...

J’ai fais un rêve cette nuit que j’avais déjà fait une autre fois. Enfin, le décor était le même, les gens aussi, sauf que cette fois l’histoire était tournée d’une autre façon. Un rêve réellement perturbant… Je sais pas ce que mon cerveau a voulu m’envoyer comme message pour le coup.

En gros j’étais fille au pair, avec exactement la même famille, sauf que la maison était trois fois plus grande, et que les alentours ressemblaient plus à un camping pour ultra riche vu qu’il n’y avait que des maisons ultra immenses. Du coup, il y avait deux autres au pair avec moi : deux garçons qui ne ressemblaient absolument pas à des au pairs… Un avait un peu près mon âge et devait être brésilien ou un truc du genre et l’autre était plus vieux, du genre 28 ans, et ses traits changeaient à chaque fois que je le regardais, mais le truc permanent dans son visage était ses yeux vert super clair. Bref, je sais pas pourquoi, à un moment le plus jeune est venu vers moi et a voulu m’embrasser et tout et tout, mais d’une je n’étais pas du tout consentante et de deux, il était beaucoup trop empressé. Bref, je me débattais lamentablement -Maman a raison, faut sérieusement que je prenne des cours de self-defense à défaut d’avoir fait du judo plus jeune- et finalement ce sont mes "cris" qui ont alerté Sh. qui est venu m’aider et faire sortir l’importun.

Après ça j’étais assez remuée et je sais plus trop pourquoi, je me suis soudainement retrouvée loin de la maison et je longeais une route pas mal fréquentée par les voitures, derrière les trucs de sécurité pour essayer de retrouver mon chemin. Là-dessus, j’arrive dans un espèce de squat rempli de tôles, de mobile-home un peu pourris, mais surtout, beaucoup de sable et une chaleur digne du Sahara. Et là, en face de moi, je vois le mec de 28 ans,que j’avais vu plutôt avant de me faire "agresser" par le jeune brésilien, armé d’un poignard. Je me mets à courir en sens inverse vers un chemin beaucoup plus fréquenté et beaucoup plus vert. Et je vois que le type continue de me suivre calmement, d’un air menaçant. J’aperçois devant moi un groupe de "gentleman" -genre costume classe, chapeau melon- tous armés d’un revolver, mais le type aux yeux verts en choppe un et l’égorge sans plus attendre. Totalement effrayée, je me remets à courir et arrive jusqu’à un groupe de quatre femmes -il me semble qu’elles étaient quatre- à qui je demande de l’aide. L’une d’entre elle repère le mec et lui tire une balle en plein coeur. Et là-dessus, le rêve se termine.

En fait, non. Il me semble qu’il y avait une histoire comme quoi je retrouvais un gars avec qui j’étais visiblement plutôt intime, mais à ce moment-là j’ai dû me réveiller.

Quoiqu’il en soit, c’est clair que ce rêve m’a pas mal perturbée vu que je n’ai pas trouvé le courage de terminer cet écrit avant aujourd’hui (25 mai 2013) et je m’en souviens aussi bien que sur le moment où je me suis réveillée… Je trouve ça marrant ces rêves qu’on n’oublie jamais et qu’on intègre directement comme "souvenir". Un souvenir un peu spécial, certes, mais vu qu’on ne les oublie pas et qu’ils restent distinctement imprimé dans notre esprit, ça devient en quelque sorte un souvenir. Fascinant. Réellement.